* REVUE DE PRESSE *
– ÉCRIVAINS ET LIVRES DU BASSIN –
+ Académicien à l’œuvre. « L’huître et l’ostréiculture en France » par Charles Daney. (*)
Christian Visticot dans « Sud-Ouest » parle de ce livre comme « d’un bel objet, illustré de gravures anciennes et peuplé de textes scientifiques ou ceux de personnalités donnant un point de vue de l’époque sur le sujet ». De cet ouvrage, il dit encore : « Tout ce que vous avez voulu savoir sur l’huître ». De fait, on y lit comment l’ostréiculture est née dans le Bassin et comment elle s’y est développée, comment aussi il lui a fallu vaincre plusieurs crises. Puis Charles Daney présente les différents bassins de production d’huîtres en France. Des anecdotes sur la consommation des huîtres à travers l’histoire figurent à la fin du livre ainsi que plusieurs recettes originales permettant de goûter le mollusque sous de bien délicieuses formes gastronomiques.

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(*) Éditions Geste. 9,90 €.
+ « Charles Daney. Bassin au cœur. Une biographie insolente ». (*)
Ginette Bléry livre une biographie de Charles Daney. Brigitte Vergès, pour « La Dépêche » a rencontré son auteure. Elle lui a confié qu’elle a été séduite par le dynamisme de Charles Daney ainsi que par son travail varié, riche et imaginatif. Et la journaliste d’ajouter : « Elle a eu la bonne idée d’émailler son livre de nouvelles inédites de Charles Daney où se dévoile sa belle écriture ». Nous y reviendrons.
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(*) Édité avec A4PM. 18 €.En vente à la Librairie Générale (Arcachon) et au Jardin des Lettres d’Internautes ainsi que sur Amazon, Fnac et Cultura.
+ Dans sa dernière sélection de livres, « Sud-Ouest » présente : « Architecture balnéaire à Arcachon », d’Isabelle Dotte. (*)

Le journal écrit : « Cet ouvrage est le fruit d’un énorme travail de recherches en archives, avec de nombreux plans, délibérations, gravures, photos anciennes et récentes ». Il est vrai que l’architecture arcachonnaise est particulièrement intéressante, surtout celle de la ville d’hiver, née sous les pins à partir de 1863 pour recevoir des curistes en quête de bon air balsamique autant que des notables et aristocrates, avides de plaisirs de bon aloi. Chalets suisses, gothiques ou moyenâgeux, ouvrages bordés de dentelles de bois ou couronnés de cheminées extravagantes. Il s’agissait de vendre du rêve et la formule influença toutes les plages de l’Atlantique ou de la Manche. Mais l’ouvrage s’intéresse aussi à des architectures locales plus méconnues : celles des premiers hébergements d’amateurs de bains de mer. Dès 1820, leurs maisons, simples bâtisses souvent en bois au début, s’élevèrent ensuite en répondant aux codes néo-classiques de l’époque.
Autre attrait du livre, écrit ‘’ Sud-Ouest’’ : « Il montre tous les enjeux économiques et sociaux qui ont conduit à la naissance et au développement de la station ». Conclusion de l’article : « L’ouvrage d’isabelle Dotte est une vraie et solide ressource mais aussi un beau livre coup de cœur ».
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(*) Éditions La Geste. Grand format. 360 p. 29,90 €.
+ « Un polar qui revisite le passé » : c‘est le titre de l’article que « La Dépêche » consacre au second polar de l’Arcachonnais Christian Ory : « Arcachon sous haute tension ».
L’ancien responsable des sports à l’agence de « Sud-Ouest » d’Arcachon, nous dit « La Dépêche » qu’il voulait toujours en découdre avec l’envie d’écrire ». De plus, il a eu la très bonne idée d’implanter l’intrigue de ses romans dans l’Arcachon de l’année 1891, ce qui, écrit le journal, « lui permet de livrer un récit qui fourmille de faits historiques locaux, de personnages et de lieux emblématiques ». Cela ne l’empêche pas, peut-on lire, « d’avoir conçu une énigme policière qui permet au lecteur d’évoluer au milieu d’événements historiques qui se placent entre les années 1882-1891 : les tempêtes, le naufrage de l’Albatros, le crime de l’hôtel de la Plage, le décès d’Adalbert Deganne ou l’arrivée du téléphone ».

Voilà qui sert de cadre à l’enquête que mènent le commissaire Joseph Martin et son adjoint Charles Bouvier qui débarquent à Arcachon le 10 juillet 1891. Juste au moment où éclate une émeute au conseil municipal de la ville au sujet des trois meurtres alors inexpliqués de trois citoyens apparemment sans histoire et dont le seul point commun est d’avoir la présence du peintre Toulouse-Lautrec auprès d’eux. « Christian Ory sait animer un récit rempli d’un décor dont il aime faire la description, en y ajoutant du bon suspense », conclut le journal.
+ « La Dépêche » présente le 17è livre de Jean-Pierre Castelain : « La Gujanaise disparue ».(*)

Il s’agit, écrit le journal, « d’un thriller contemporain dont l’histoire prend sa source à Gujan ». L’héroïne, c’est la belle Léa qui se trouve emportée dans une histoire rocambolesque après un voyage de noces au à Fès, au Maroc. Ses démêlés commencent au moment de la crise des gilets jaunes. Ils deviendront de plus en plus angoissants, d’autant plus que, fidèle à son goût pour les récits à l’ampleur planétaire, Jean-Pierre Castelain entraîne Léa jusqu’aux Émirats, en passant par Belgrade, la Serbie, Amman et Pétra. C’est chaque fois l’occasion pour l’auteur de faire découvrir à son lecteur des paysages sublimes qui donnent à son récit l’ampleur d’une aventure toute nouvelle.
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(*) Éditions Amalthée. 20, 50 €. 286 p. Toutes librairies. Disponible sur Ebook. (9,99 €).
+ « Un voyage vers le Bassin par le train de 1845 ».

Sous ce titre, Jacky Donzeaud annonce, dans « Sud-Ouest » la réédition du fameux « Voyage en train entre Bordeaux et le Basson d’Arcachon » (*) d’Oscar Déjean. Un livre précieux « rédigé comme un Guide du routard » qui décrit avec précision tout ce que peut voir le voyageur tout au long des 20 stations de la ligne d’un des premiers chemin de fer de France. Il rencontre durant le voyage« les landes austères, les forêts de pins, quelques terres cultivées » et l’auteur indique de manière très détaillée les curiosités les plus diverses : églises, châteaux, us et coutumes, fontaines miraculeuses, pèlerinage, etc. Un beau voyage historique dans le passé, illustré par 73 documents d’époque.
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(*) Editions Le Bas du pavé. 15 €. Librairies et Maisons de la presse.
+ « Histoire d’Arcachon » et « Petite histoire du Bassin d’Arcachon » par Michel Boyé.

Jean-Baptiste Lenné rend compte dans « La Dépêche » de ces deux livres de celui qu’il présente « comme l’un des historiens le plus rigoureux du Bassin ». Le premier livre, « Histoire d’Arcachon » (*) retrace, nous dit le journaliste : « la lente urbanisation, la séparation d’avec La Teste et ses querelles intestines. (…) Il dévoile aussi les heures sombres de la ville, dépeint l’évolution de la vie arcachonnaise depuis son origine et il insiste sur les particularités de cette ‘’ville de santé’’ ».

Dans le second ouvrage, consacré cette fois au Bassin, (**) Michel Boyé, écrit le journaliste, « réussit, en 172 pages, la prouesse de parler du Bassin de la préhistoire jusqu’au XXIe siècle. Il évoque la formation du Bassin, la lute contre l’avancée des dunes, les premiers habitats et l’évolution économique avec les essais d’agriculture, l’ouverture industrielle puis touristique et la naissance de l’ostréiculture ».
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(*) Éditions Geste. 180 p. 9,90 €.
(**) Éditions Geste. 172 p. 9, 90 €.
+ Voici deux livres consacrées aux automobiles, cités par « La Dépêche du Bassin ».
Le premier a pour titre « Mémoires Volkswagen » dont rend compte Brigitte Vergés. Son auteur, le journaliste Jacky Morel habite Lège-Cap Ferret. C’est le cinquième ouvrage qu’il consacre à la célèbre voiture dont Brigitte Vergés rappelle qu’elle fut produite pendant plus de 50 ans à 21 millions d ‘exemplaires (*) et, écrit-elle, « c’est tout jeune que Jacky Morel en tomba amoureux, au point de devenir journaliste automobile au sein d’un groupe parisien où il créa deux magazines consacrés à cette voiture ». Et la « Cox », c’est un sujet qu’il connaît bien puisqu’il en a possédé 72 ! Il en détaille toutes les variantes et il a participé à de nombreuses courses à leur volant. Il raconte ses courses et ses rencontres entre des passionnés comme lui, dans le monde entier. « Il le fait avec beaucoup de talent », commente Brigitte Vergés, « si bien », ajoute-t-elle, « que même si l’on n’est pas passionné de VW, le livre mérite d’être lu par la richesse de ces rencontres et la saveur des anecdotes qui les accompagnent ». Enfin, la journaliste de « La Dépêche » signale qu’on trouvera dans ce livre 740 photos inédites plus étonnantes les unes que les autres. Elle conclut : « C’est passionnant ! ».

Second livre, toujours consacré à l’automobile, celui de Patrice Vergés intitulé « Génération 😯 » (**) Que « La Dépêche » présente sous le titre : « Retour dans le passé avec 😯 modèles mythiques ». Journaliste spécialisé en automobile, Patrice Vergés, qui réside à Gujan, a déjà publié 16 ouvrages consacrés à la voiture. Dans ce 17è, il parle de ces voitures qu’il a essayées durant les années 80 et il le remet dans le contexte économique, social et politique de l’époque ce qui contribue à expliquer pourquoi les modèles de voitures ont évolué selon un certain style. Riche de 208 pages, illustré par 296 photos, le livre de grand format possède donc un triple intérêt : technique, historique et artistique.

Car les années 80, c’est la folie des GTI et l’explosion des ventes des 4×4. C’est aussi « les années turbo », celles de la Porsche 944, de l’ Alpine Renault 5 turbo mais aussi de la 2 CV Charleston, de la Renault 4, de l’Opel Kadett GSI et de la mythique Golf GTI. Un beau voyage dans le souvenir d’un temps pas très lointain et qui, pourtant, semble déjà si loin.
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(*) 340 p. À commander avec une dédicace personnalisée : Jackymorel.com.
(**) Éditions ETAI. Collection « Passion voitures ». En toutes librairies. 45 €.
+ « Un roman pour penser positif », écrit « La Dépêche » à propos du livre de Kristel Roy « Ce n’était qu’un malentendu ». (*)

– L’auteure, qui vit à Gujan-Mestras, est manager coach dans le secteur aérien. Le roman raconte la vie de Fanny-Merle-des-Îles, cadre d’entreprise dans une compagnie aérienne. Alors que le poste qu’elle convoite lui échappe, elle croise Mathéo qui traverse sa vie avec la force d’un tsunami. Elle commence alors un voyage intérieur ponctué de prises de conscience libératrices. À la recherche de son trésor intérieur elle développe la sculpture qui devient l’outil de sa propre résilience. Elle confie à « La Dépêche » : « Dans cette fiction inspirée d’histoires vraies, j’ai choisi de partager certains outils de développement personnel que j’ai découverts au long de mon parcours initiatique. J’y aborde des thèmes universels comme la passion, la recherche du bonheur, la quête de sens, le temps qui passe et la résilience ».
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(*) Éditions du nombre7. 274 p. 17,50 €. Infos : tel : O6 11 79 38 05.